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Votre équipe est-elle au top ?

equipe_au_top_le_cndcDans le sport, comme dans le Business, il est important de s’entourer de bons joueurs / de bons éléments, mais cela ne suffit pas. Il y a 2 points essentiels à travailler pour atteindre de grands résultats :

Vous positionner en vrai capitaine

Un vrai capi­taine, un mix entre le lea­der et le mana­ger. Etre celui qui ins­pire (le « POURQUOI ? »), qui donne le cap (le « VERS OU ? ») et qui sait sti­mu­ler, sou­te­nir, ani­mer. Pour y par­ve­nir, il vous faut être clair et intègre dans vos pro­pos et dans votre com­por­te­ment, faci­li­ter et encou­ra­ger l’expression de cha­cun, déve­lop­per un esprit de réus­site basé sur la confiance et l’implication, et four­nir les moyens aux col­la­bo­ra­teurs pour s’exprimer et s’épanouir.

Développer le jeu d’équipe

Le jeu d’équipe s’appuie sur la diver­si­té des styles de vos col­la­bo­ra­teurs, sur leur envie de co-construire l’avenir. Il s’agit là de s’appuyer sur la com­plé­men­ta­ri­té des per­sonnes plu­tôt que d’opposer les dif­fé­rences. Sou­vent le fait de stag­ner résulte de la pen­sée unique, de la rou­tine, de l’absence de confron­ta­tion, par manque de cou­rage, par manque d’écoute, par manque de confiance. Il existe des méthodes pour dépas­ser tous ces freins, mieux se com­prendre soi-même et mieux com­prendre les autres. Et à par­tir de là, un nou­vel hori­zon s’ouvre, riche en pers­pec­tives, en pos­si­bi­li­tés, en envies, pour mieux déve­lop­per l’efficacité et la création !

Et parmi les prérequis indispensables : avoir le même objectif, partager les valeurs et les règles du jeu en privilégiant l’écoute et la volonté d’aller de l’avant.

A but de réflexion, nous vous sug­gé­rons de tra­vailler sur les 5 dys­fonc­tion­ne­ments iden­ti­fiés par Patrick Len­co­ni dans son livre «  Opti­mi­sez votre Equipe » :

• Man­quer de confiance entre équipiers
L’absence de trans­pa­rence, la méfiance entre les membres d’une même équipe inhibe son fonctionnement.

• Craindre les conflits
Le manque de confiance réci­proque dans l’équipe incite ses membres à res­ter sur la défen­sive. En réunion, cette situa­tion se tra­duit par des déci­sions sans enver­gure, une absence de pro­po­si­tions inno­vantes et de débat constructif.

• Ne pas s’engager
Les déci­sions arrê­tées ne rem­portent pas l’adhésion des ceux qui n’ont pas pu s’exprimer vrai­ment. Elles sont le fruit d’un consen­sus mou qui n’incite pas les par­ti­ci­pants à s’engager plei­ne­ment dans leur mise en œuvre.

• Evi­ter la prise de responsabilité
Dans un contexte où la confiance n’existe pas, où les déci­sions prises sont rapi­de­ment cri­ti­quées, les col­la­bo­ra­teurs rechignent à s’investir pour le collectif.

• Etre inat­ten­tifs aux résul­tats de l’entreprise
Les res­pon­sables se foca­lisent sur les résul­tats de leur propre dépar­te­ment et se dés­in­té­ressent des résul­tats glo­baux de l’entreprise.

Le cas ana­ly­sé dans le livre de Len­co­ni est assez « typé ». Il n’en demeure pas moins, que les prin­cipes ana­ly­sés et décrits res­tent per­ti­nents quelle que soit l’équipe considérée.

Bon tra­vail d’équipe !

 

 

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