Stéphane et Claire Faure, gérants de ZKS Motorsport
« Avant de commencer à nous faire coacher notre entreprise était un peu isolée je sentais le réel besoin de rencontrer d’autre chefs d’entreprise pour échanger de leurs expériences et apprendre à leurs contacts ils nous manquait des cartes sans savoir quoi exactement. Nous n’étions pas toujours convaincu que nous avions de bonnes idées et que nous avancions dans le bon sens. Tout était un peu brouillon et peu approfondis, dans l’urgence au jour le jour. Avant le coaching , je réalisais toutes les préparations autos, la partie administrative , et je servais également beaucoup de coursier. Mon époux travaillait à l’atelier et nous ne disposions d’aucun temps de loisirs.
Aujourd’hui il nous semble avoir pris un peu plus nos marques dans notre entreprise .Nous avons un salarié à plein temps et un apprenti en 1er année. Nos projets d’évolutions et de développements ont pris une grande place dans notre quotidien avec des études des remises en questions des prises de conscience et une évaluation des risques encourus. On a commencé à systématiser notre activité et à anticiper au maximum une augmentation de nos tarifs en début d’année nous permettra certainement de réaliser un bien meilleur CA.
Tous les points évoqués lors de nos réunions hebdomadaires nous font grandir , évoluer et nous ont énormément enrichis .Certains points ont seulement étaient effleurés et il nous faut encore les approfondir pour les intégrés et les mettre en application dans notre fonctionnement
Le travail de toute une vie semble t il .… mais avec le coaching nous avons la sensation sans bruler les étapes d’aller plus vite à l’essentiel , se poser les bonnes questions et réagir de façon posée et adéquate dans le respect des individus et un énorme travail d’équipe ou tout le monde trouve sa place son équilibre et le carburant à son moteur.
Le fait de nous faire coacher nous aide à mieux nous connaitre et mieux connaitre les autres pour pouvoir travailler mieux ensemble. Depuis j’ai à nouveau des loisirs pour moi seule je m’autorise à me nourrir intellectuellement pendant mes heures de travail ( ce qui me semblait une aberration ) mais qui en réalité me fait progresser. »