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Évolution professionnelle : les 5 fonctions les plus enclines à évoluer vers le métier de coach de dirigeants

Nous sommes toutes et tous pas­sé par ce che­min, nous avons toutes et tous eu à répondre à cette ques­tion « Tu veux faire quel métier quand tu seras plus grand ? « . À cette ques­tion, vous avez peut-être répon­du « Pilote d’avions, méca­ni­cien, pilote de for­mule 1, poli­cier, ingé­nieur, acteur… ». Peu importe la réponse appor­tée ; se cache der­rière cette ques­tion une manière impli­cite d’ou­vrir notre esprit d’en­fant, de nous don­ner des ailes et de nous pous­ser à aller voir plus loin. Il y a d’ailleurs fort à parier que pour la majo­ri­té, vous n’exer­cez pas le métier que vous aviez évo­qué à l’âge de 8 ans et cela n’a pas d’im­por­tance. Au contraire, vous aviez des envies, mais en gran­dis­sant vous avez déve­lop­pé votre per­son­na­li­té, avez créé un ou plu­sieurs cercles d’a­mis, avez déve­lop­pé votre manière de pen­ser, pour vous dif­fé­ren­cier et être aujourd’­hui « VOUS » dans un métier qui vous passionne.

En com­men­çant cet article par ce retour en enfance, c’est sur­tout une manière de faire un paral­lèle avec votre « VOUS » en tant qu’a­dultes. Si quand vous étiez petit on vous deman­dait le métier que vous sou­hai­te­riez faire plus tard, aujourd’­hui les ques­tions que vous vous posez, que vous vous êtes posées ou celles que vous vous pose­rez pro­chai­ne­ment pour­raient être : « Vers quelle fonc­tion, quel métier, vais-je ou ai-je envie d’évoluer » ?; « Quelle impul­sion don­ner à mon par­cours » ?. Ne pou­vant inté­grer tous les sec­teurs, cet article va mettre en avant les cinq fonctions/ métiers les plus enclins à faci­li­ter une évo­lu­tion vers le métier de coach d’affaires pour le dirigeant.

Focus sur le métier de coach

Avant de pré­sen­ter les 5 fonc­tions métiers sus­cep­tibles d’évoluer vers le métier de coach, il me semble indis­pen­sable d’expliquer ce qu’est le coa­ching et quelle en est sa por­tée. Le coa­ching est une action qui a voca­tion à dyna­mi­ser l’esprit en appor­tant une autre manière de per­ce­voir les choses. Ni consul­tant, ni psy­cho­logue, le coach a un rôle neutre dans l’entreprise, en revanche, il agit comme un moteur d’actions.

Son objec­tif : Pous­ser dans les retran­che­ments, accom­pa­gner au chan­ge­ment posi­tif, à l’optimisation des pro­ces­sus. Il s’agit d’une véri­table col­la­bo­ra­tion qui se joue non pas sur une manche mais plu­sieurs. À l’image des spor­tifs qui s’entraînent tous les jours pour être au meilleur de leur forme et conti­nuer à rem­por­ter des tro­phées, le coach pour diri­geant se posi­tionne ain­si. Son but ultime : Voir le diri­geant et l’entreprise de celui-ci conti­nuer à « gagner » et atteindre ses objec­tifs. Le mot d’ordre : la Confiance. Dans cette com­pré­hen­sion, il va de soi que toutes les fonc­tions ne sont pas enclines à évo­luer vers le métier de coach. Dans les ten­dances du sec­teur ter­tiaire, il en res­sort natu­rel­le­ment cinq. Le DAF ou Direc­teur Admi­nis­tra­tif et Finan­cier, La Direc­tion Mar­ke­ting, La Direc­tion Com­mer­ciale, La Direc­tion RH, La Direc­tion de la communication.

Les 5 fonctions métiers les plus facilitatrices

Le Direc­teur Admi­nis­tra­tif et Finan­cier plus connu sous le nom métier « DAF ». En charge de la vision finan­cière, cette per­sonne a un poste clé qui lui per­met de tra­vailler en étroite col­la­bo­ra­tion avec la direc­tion. Agis­sant comme un « tiers de confiance », le DAF est en contact avec de nom­breux par­te­naires d’une entre­prise : ban­quiers, action­naires, prin­ci­paux clients et four­nis­seurs, avo­cats, juristes… Il occupe une place impor­tante en matière de ges­tion de la tré­so­re­rie, d’établissement des bud­gets pré­vi­sion­nels et de mise en place d’outils de contrôle de ges­tion et de repor­ting. C’est cette vision à 360° qui lui per­met de tra­vailler sur un accom­pa­gne­ment au chan­ge­ment et à l’optimisation. Agis­sant de manière prag­ma­tique, son rôle est d’anticiper, de péren­ni­ser et déve­lop­per des axes d’amélioration finan­cière pour l’entreprise. Le DAF est la fonc­tion métier natu­rel­le­ment appe­lée à évo­luer vers le métier de coach.

Le Direc­teur Mar­ke­ting éga­le­ment appe­lé le « Dir Mar » ou « Dir Mar­ket ». Entre vision de l’offre com­mer­ciale, déve­lop­pe­ment de la marque entre­prise, le Dir Mar­ke­ting est ame­né à tra­vailler en étroite col­la­bo­ra­tion avec dif­fé­rents ser­vices « Finan­ciers, Com­mu­ni­ca­tion, com­mer­ciaux… » Son rôle clé lui confère la res­pon­sa­bi­li­té de créer une ému­la­tion natu­relle à faire gran­dir le Chiffre d’affaires de l’entreprise. Il doit en pas­ser par des actions de veille, d’anticipation et d’amélioration en moti­vant tous les ser­vices à l’épauler. Ce poste à haute res­pon­sa­bi­li­té, qui com­prend de nom­breux aspects demande une grande poly­va­lence. Cha­ris­ma­tique et fédé­ra­teur sont les maîtres mots.

Le Direc­teur Com­mer­cial. Pré­sent dans tous les sec­teurs de l’entreprise, le direc­teur com­mer­cial est un meneur d’hommes expé­ri­men­té qui doit s’assurer du res­pect des objec­tifs de vente fixés par sa direc­tion. Dans cette dyna­mique, il doit répondre aux dési­rs des clients et pro­ba­ble­ment le plus impor­tant, moti­ver jour après jour ses troupes. Fonc­tion métier stra­té­gique puisque le nerf de la guerre reste la vente. Pas de vente, pas de chiffre, pas de chiffre, pas d’entreprise. En rela­tion per­ma­nente avec le dépar­te­ment mar­ke­ting, le direc­teur ana­lyse les fac­teurs envi­ron­ne­men­taux pour créer la poli­tique com­mer­ciale de l’entreprise. Ses outils sont des tableaux ou Dash­board pour construire et suivre les objec­tifs de vente. Ses mots clés : Chal­len­ger, Dyna­mi­ser et Valo­ri­ser. Agis­sant en « bon père », ce per­son­nage doit à la fois être cha­ris­ma­tique, prag­ma­tique, empha­tique pour emme­ner ses équipes com­mer­ciales à lui faire confiance.

Le Direc­teur des Res­sources Humaines. Agis­sant en col­la­bo­ra­tion directe avec la direc­tion, cette fonc­tion métier met un effet posi­tif sur la dyna­mique de l’entreprise. Géné­ra­le­ment, qui dit recru­te­ment, dit besoin d’hommes pour évo­luer et faire gran­dir. Garant de la poli­tique de recru­te­ment de l’entreprise, cette per­sonne est en charge de don­ner envie à des talents de rejoindre l’entreprise mais il doit éga­le­ment s’assurer de la bonne dyna­mique dans l’entreprise de chaque col­la­bo­ra­teur, s’assurer que cha­cun trouve son équi­libre et prend plai­sir à venir tra­vailler. Cette fonc­tion très humaine a donc deux visions : Une vision d’image qu’elle défi­ni­ra avec la direc­tion de l’entreprise et les ser­vices de la com­mu­ni­ca­tion et une vision sociale qu’elle péren­ni­se­ra avec l’ensemble des BU de l’entreprise. Un métier clé aux où il faut savoir jouer l’équilibriste. Répon­dant aux besoins de l’entreprise en termes de « moyens humains » pour faire gran­dir les pro­fits, la fonc­tion métier Direc­teur RH et par­fai­te­ment adap­tée pour évo­luer vers le métier de coach.

Le Direc­teur de la com­mu­ni­ca­tion éga­le­ment appe­lé le « Dir Com » est un fin stra­tège esthète qui accom­pagne et garan­tit l’ensemble de la chaîne image/message de l’entreprise. Il tra­vaille prin­ci­pa­le­ment avec la Direc­tion Géné­rale, Direc­tion Mar­ke­ting, Direc­tion RH. À l’ère du digi­tal et de l’instantanéité, il a pour objec­tif de défi­nir et décli­ner sur tous types de sup­port les grandes lignes de sa poli­tique stra­té­gique de com­mu­ni­ca­tion. Garant d’une com­mu­ni­ca­tion à 360, cette fonc­tion métier demande d’avoir un esprit stra­té­gique, vision­naire et empha­tique afin de répondre aux dési­dé­ra­tas de toutes les par­ties de l’entreprise. Il doit, de façon glo­bale tra­vailler une poli­tique de com­mu­ni­ca­tion per­cu­tante et cohé­rente afin de déve­lop­per la « marque » de l’en­tre­prise, valo­ri­ser son image et opti­mi­ser sa visi­bi­li­té. Les objec­tifs et la vision de l’entreprise étant en per­pé­tuelle muta­tion, la com­mu­ni­ca­tion doit elle aus­si être dans cette dyna­mique et « se revi­si­ter » régu­liè­re­ment. Recher­chant en tout temps le rela­tion­nel, le par­tage et l’amélioration, cette fonc­tion métier est là aus­si toute des­ti­née à évo­luer vers la fonc­tion coach.

Coach de dirigeants : Une tendance à démocratiser 

Encore assez peu répan­du en France, le métier de coach d’affaires s’exerce géné­ra­le­ment en pro­fes­sion indé­pen­dante. Si l’idée de pas­ser à l’indépendance peut plaire, de nom­breux fac­teurs freinent les gens à pas­ser à l’acte… En prime, la pros­pec­tion com­mer­ciale auprès des diri­geants, la peur de se retrou­ver seul… Dans cette dyna­mique de nou­veaux acteurs créent des pro­grammes pour accom­pa­gner ces per­sonnes sou­hai­tant créer leur acti­vi­té à la réus­sir dans les meilleures condi­tions. C’est le cas du réseau leCNDC®, Le Centre Natio­nal du Coa­ching® qui pré­sente de nom­breuses oppor­tu­ni­tés de déve­lop­pe­ment. Il reste beau­coup avant de voir toutes les entre­prises se faire accom­pa­gner pour opti­mi­ser le poten­tiel de leurs diri­geants, mais tout pas­se­ra par des réseaux forts et struc­tu­rés qui ont en point com­mun l’amour de l’entreprise, de la per­for­mance et de la remise en cause en per­ma­nence. L’indépendance est à quelques pas de votre porte et la créa­tion de votre nou­velle acti­vi­té éga­le­ment alors décou­vrez les rai­sons pour les­quelles rejoindre un réseau pour­rait s’avérer une offre gagnante.

https://www.lecndc.com/rejoindre-un-reseau-de-coachs-d-affaires/

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