Emmanuel Bonnet

Emmanuel Bonnet

Région Centre-Val de Loire

Tél. 06 09 69 72 14‬
Lin­ke­dIn : https://www.linkedin.com/in/bonnet-emmanuel/
e‑Mail : emmanuelbonnet@lecndc.com

Emma­nuel a créé la socié­té SOSTHENE BC, qui tire son nom d’un pré­nom grec signi­fiant « celui dont la force est pré­ser­vée ». Un mes­sage à l’adresse des diri­geants de la région Centre-Val de Loire qui ont besoin de redon­ner du sens à leur entre­pre­neu­riat et de l’équilibre à leur vie.

SON PARCOURS

Après une for­ma­tion d’ingénieur géné­ra­liste, Emma­nuel est d’abord res­pon­sable de pro­duc­tion dans l’industrie métal­lur­gique avant de rejoindre Vin­ci Auto­routes où il occupe dif­fé­rents postes de direc­teur régio­nal pen­dant près de quinze ans.

Ces expé­riences, menées dans des sec­teurs d’activité bien dif­fé­rents, ont pour points com­muns l’accompagnement au chan­ge­ment et sur­tout le mana­ge­ment d’équipes, com­po­sées de 80 per­sonnes dès les pre­mières années, jusqu’à 600 chez Vin­ci Autoroutes.

COMMENT LE COACHING EST ENTRÉ DANS SA VIE ?

Emma­nuel a tou­jours envi­sa­gé son rôle de mana­ger comme celui d’un accom­pa­gna­teur : « Mon objec­tif était que les col­la­bo­ra­teurs s’approprient les sujets, qu’ils gagnent en auto­no­mie. J’organisais régu­liè­re­ment des points de ren­contre, et non de contrôle, pour m’assurer que cha­cun conti­nuait d’évoluer ». Du coa­ching en somme.

Une expé­rience va s’avérer déter­mi­nante pour la suite de son par­cours. Dans le cadre d’un par­te­na­riat entre Vin­ci et une asso­cia­tion de sou­tien aux réfu­giés, Emma­nuel aide un ancien vété­ri­naire de Mos­soul, sans équi­va­lence de diplôme en France, à bâtir un nou­veau pro­jet pro­fes­sion­nel, et à faire le deuil de sa vie d’avant. Aujourd’hui titu­laire d’un mas­ter en phar­ma­co­lo­gie, ce der­nier a été embau­ché par un labo­ra­toire de Tours.

SA RENCONTRE AVEC LE CNDC

De cette aven­ture de « co-trai­ning », Emma­nuel tire deux ensei­gne­ments : il sou­haite s’impliquer au plus près des entre­pre­neurs tout en ayant la satis­fac­tion d’en mesu­rer les résul­tats tan­gibles. « Dans le contexte actuel de muta­tions socié­tales, éco­no­miques et envi­ron­ne­men­tales, j’ai envie d’apporter ma modeste pierre à l’édifice et d’agir, dans ma région, pour des petites struc­tures qui ont l’envie d’évoluer ».

Il par­tage la vision des fon­da­teurs du CNDC et l’accompagnement qu’ils pro­posent le séduit d’emblée : « leur démarche est authen­tique, sin­cère et repose sur de pro­fondes valeurs humaines. Ini­tiée il y a des années, elle s’appuie sur de solides outils et des méthodes éprouvées ».

SES VALEURS

  • La loyau­té, au cœur de nom­breuses notions fon­da­men­tales : elle repose sur la trans­pa­rence, per­met la confiance et le res­pect, génère du bien-être.
  • L’humilité : il faut s’ouvrir, être à l’écoute des expé­riences des autres pour tou­jours être capable de se remettre en question.
  • Le prag­ma­tisme, qui per­met d’être effi­cace, concret, pour bâtir un pro­jet réa­liste et adapté.
  • La jus­tice, car la recon­nais­sance du tra­vail et la récom­pense des efforts sont des moteurs indis­pen­sables à l’évolution de chacun.
  • La per­sé­vé­rance ou l’art de culti­ver le sens de l’effort pour aller jusqu’au bout de ce que l’on entreprend.
  • La curio­si­té pour ne pas se conten­ter de ce que l’on sait, mais res­ter ouvert pour pro­gres­ser, s’enrichir, se sen­tir bien.

S’IL DEVAIT CHOISIR UNE CITATION

« Le doute et la cer­ti­tude forment un couple tur­bu­lent mais insé­pa­rable » (Étienne Klein)

Le doute est une force motrice pour cher­cher la véri­té, pour com­prendre le monde qui nous entoure. Le doute nous pousse à poser des ques­tions, à remettre en cause nos idées pré­con­çues, à explo­rer de nou­velles perspectives.

La cer­ti­tude est une source de sta­bi­li­té et de confiance qui nous donne la convic­tion néces­saire pour agir. Le risque de nos cer­ti­tudes est de nous enfer­mer et d’empêcher toute remise en ques­tion et de nous rendre imper­méable à de nou­velles idées.

Le doute et la cer­ti­tude sont donc des forces com­plé­men­taires qui nous aident à navi­guer dans le monde qui nous entoure.

QU’AIME-T-IL FAIRE DANS SES LOISIRS ?

« Quand je regarde les piles de livres autour de moi, j’en vois trop à mon goût qui ne sont pas encore lus ». Emma­nuel appré­cie par­ti­cu­liè­re­ment les romans réa­listes, miroirs de la socié­té contem­po­raine, et notam­ment les auteurs anglo-saxons et amé­ri­cains. Tou­jours curieux cepen­dant, il lui arrive de deman­der à des libraires de lui vendre un livre, sui­vant leurs propres convic­tions et non selon ses goûts personnels.

Le sport est une autre source de plai­sir et d’équilibre pour Emma­nuel, un moyen effi­cace « pour tout mettre à plat et ses idées à l’endroit ». Il pra­tique le Cross­Fit et la course, en soli­taire, sans musique, à l’affût des sons et des odeurs de la nature. Une nature qu’il aime par­ti­cu­liè­re­ment quand elle atteint des som­mets car c’est à la mon­tagne qu’il va se res­sour­cer dès qu’il le peut, quelle que soit la saison.

SA PREMIÈRE APPROCHE

Pour Emma­nuel, le coa­ching d’affaires s’inscrit dans une dyna­mique à la fois indi­vi­duelle et col­lec­tive. Il s’agit d’aider les diri­geants à se ques­tion­ner sur leurs réels enjeux et à tra­vailler dif­fé­rem­ment dans leur entre­prise, mais aus­si à faire pro­gres­ser le ter­ri­toire dans lequel ils sont implantés.

LA SÉANCE DÉCOUVERTE

Moment pri­vi­lé­gié d’échange, la séance décou­verte per­met de cer­ner les pro­blé­ma­tiques du chef d’entreprise et d’évaluer ce que le coach d’affaires peut tech­ni­que­ment, et humai­ne­ment, lui appor­ter. C’est donc le temps où s’établit la pre­mière rela­tion de confiance.

LES PROGRAMMES

Une fois le binôme ins­ti­tué, le pro­gramme d’accompagnement répond sur mesure aux attentes du diri­geant. Par une approche prag­ma­tique s’appuyant sur la métho­do­lo­gie déve­lop­pée par le CNDC, on agit sur les pro­blèmes pol­luants en y appor­tant des solu­tions concrètes. « L’objectif final est d’arriver à l’équilibre : un chef d’entreprise serein est un indi­vi­du serein, et vice-versa. »

Quels que soient les thèmes abor­dés et la durée de l’accompagnement, si le coach est l’initiateur du chan­ge­ment, c’est le diri­geant qui conduit l’action.

LES ATELIERS OXYGÈNE

Les ate­liers Oxy­gène ras­semblent des chefs d’entreprise de dif­fé­rents sec­teurs d’activité et un coach d’affaires. Les béné­fices pour les diri­geants sont mul­tiples : ils sortent de leur soli­tude, étendent leur réseau et tra­vaillent, en groupe et avec des regards exté­rieurs, sur leur entre­prise. Ils repartent avec un plan d’actions immé­dia­te­ment appli­cable dans leur entreprise.

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